Pourquoi des potiers à Varages ?
Nous le devons à Dame nature, car sur le terroir de Varages les potiers avaient à disposition les matières premières nécessaires :
l’eau, le bois, le sable et l’argile.
Depuis quand des potiers exercent-t-il leur art à Varages ? Personne ne le sait avec certitude, certain indice nous laisse penser depuis l’âge des cavernes. D’abord pour une utilisation personnelle et locale. Puis nous retrouvons trace d‘acte mentionnant la présence de potier présent sur le village en 1588 et la présence d’une poterie en temps que commerce à partir de 1634.
Nous le devons à Dame nature, car sur le terroir de Varages les potiers avaient à disposition les matières premières nécessaires :
l’eau, le bois, le sable et l’argile.
Depuis quand des potiers exercent-t-il leur art à Varages ? Personne ne le sait avec certitude, certain indice nous laisse penser depuis l’âge des cavernes. D’abord pour une utilisation personnelle et locale. Puis nous retrouvons trace d‘acte mentionnant la présence de potier présent sur le village en 1588 et la présence d’une poterie en temps que commerce à partir de 1634.
Les potiers de Varages, fabriquaient des pignates, conques, toupins, jarrettes, jarons, assiettes, gargoulettes, mais aussi des malons, tomettes, tuiles certaines vernissées et des ‘’bournéou’’, et bien d’autres formes nécessaires à la vie courante.
On peut penser que sans eux il n’y aurait jamais eu de production de faïences à Varages. Quasiment toutes les poteries seront reconverties en faïenceries.
Notre premier faïencier Etienne Armand transforme en 1695 l’atelier d’un potier André FERRAT en faïencerie.
Le potier Joseph CHAIX exercera jusqu'en 1718 date à laquelle il vendit à Joseph CLERRISSY déjà installé dans la place.
Jean BERNARD fera de même en 1742 avec l’atelier du potier Photin GEBELIN la poterie d'André MAURIC, fut repris par son gendre Antoine FABRE, son fils Antoine la transformera en faïencerie en 1776.
Le potier Joseph CHAIX exercera jusqu'en 1718 date à laquelle il vendit à Joseph CLERRISSY déjà installé dans la place.
Jean BERNARD fera de même en 1742 avec l’atelier du potier Photin GEBELIN la poterie d'André MAURIC, fut repris par son gendre Antoine FABRE, son fils Antoine la transformera en faïencerie en 1776.
Nous pourrions ainsi en citer d’autres.
Certaines poteries continuerons leurs productions à coté des faïenceries jusqu'à la fin du 19ème siècle.
